Je vous épargne le couplet sur le niveau des taux d’intérêts et l’impact terrifiant à moyen terme de cette politique voulue en dehors de toute réalité macroéconomique, de même je ne vais pas m’appesantir sur le niveau de dette d’un ensemble d’acteurs de la chaîne financière (de l’état jusqu’au quidam de n’importe quel pays de cette planète)
Ces sujets permettent d’ailleurs amplement de justifier le titre de ce post.
Mais peut-être il y a plus grave : la distorsion temporelle entre l’investissement massif privé dans un ensemble de sociétés dans le monde qui « disruptent » des modèles parfois centenaires et la lenteur de gouvernants qui pilotent des monstres vieillissants et souvent quasi inertes (nos pays occidentaux notamment) !
Le sujet fiscal en est le parfait exemple. Alors que chacun tente de trouver un remède à une soi-disant compétition fiscale entre continents (plus cohérent comme approche que de parler de pays), personne ne semble disposé à admettre que la solution passera forcément par l’abandon à terme de toute fiscalité directe au bénéfice d’une fiscalité indirecte (et je pense aussi ici à la taxation sur les transactions financières)
Taxer le fruit du travail, le patrimoine, les successions etc…n’est absolument plus en phase avec la réalité de notre monde
Mais il y a aussi la partie sociale qui est la deuxième bombe car en dehors de l’Europe de nombreux continents sont en train de former (et de façon remarquable) une population jeune et ambitieuse. La aussi la compétition « salariale » sera fatale
La réponse à la question paraît donc un contre-pied au titre. Ce n’est pas la finance qui évolue dans un monde parallèle mais plutôt certains acteurs décideurs qui ne sont que les héritiers d’une technocratie dépassée
En attendant, nos startups et autres sociétés en croissance amassent l’argent disponible et nous donne chaque jour de belles vraies leçons de management.
Soyons donc admiratifs de ces jeunes entrepreneurs et positifs en les écoutant attentivement sur leur vision du monde
Je vous épargne le couplet sur le niveau des taux d’intérêts et l’impact terrifiant à moyen terme de cette politique voulue en dehors de toute réalité macroéconomique, de même je ne vais pas m’appesantir sur le niveau de dette d’un ensemble d’acteurs de la chaîne financière (de l’état jusqu’au quidam de n’importe quel pays de cette planète)
Ces sujets permettent d’ailleurs amplement de justifier le titre de ce post.
Mais peut-être il y a plus grave : la distorsion temporelle entre l’investissement massif privé dans un ensemble de sociétés dans le monde qui « disruptent » des modèles parfois centenaires et la lenteur de gouvernants qui pilotent des monstres vieillissants et souvent quasi inertes (nos pays occidentaux notamment) !
Le sujet fiscal en est le parfait exemple. Alors que chacun tente de trouver un remède à une soi-disant compétition fiscale entre continents (plus cohérent comme approche que de parler de pays), personne ne semble disposé à admettre que la solution passera forcément par l’abandon à terme de toute fiscalité directe au bénéfice d’une fiscalité indirecte (et je pense aussi ici à la taxation sur les transactions financières)
Taxer le fruit du travail, le patrimoine, les successions etc…n’est absolument plus en phase avec la réalité de notre monde
Mais il y a aussi la partie sociale qui est la deuxième bombe car en dehors de l’Europe de nombreux continents sont en train de former (et de façon remarquable) une population jeune et ambitieuse. La aussi la compétition « salariale » sera fatale
La réponse à la question paraît donc un contre-pied au titre. Ce n’est pas la finance qui évolue dans un monde parallèle mais plutôt certains acteurs décideurs qui ne sont que les héritiers d’une technocratie dépassée
En attendant, nos startups et autres sociétés en croissance amassent l’argent disponible et nous donne chaque jour de belles vraies leçons de management.
Soyons donc admiratifs de ces jeunes entrepreneurs et positifs en les écoutant attentivement sur leur vision du monde
Comments